Relic Knights : l’attente est terminée

Mieux vaut tard que jamais ! J’ai reçu cette semaine la contrepartie de ma contribution au Kickstarter de Relic Knights. Pratiquement deux ans après la clôture de la campagne de financement, le colis a débarqué, tel un cheveu sur la soupe. Entre-temps, l’enthousiasme a largement eu le temps de retomber. Jetons tout de même un œil curieux aux figurines pour voir si le passage au plastique ne les a pas trop altérées.

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Le bilan n’est pas mauvais du tout. La plupart des détails sont conservés. Toutefois, les lignes de moulage sont nombreuses et devront être supprimées. Heureusement, cela ne devrait pas poser trop de difficultés car, contrairement à Super Dungeon Explore, les figurines ne sont pas pré-assemblées.

La comparaison des modèles métal et plastique de Princess Malya montre que les découpes ont été retravaillées en profondeur. Le Relic Knight est devenu beaucoup plus simple à assembler, grâce à la généralisation de détrompeurs.

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La figurine originale, sculptée par Jacques-Alexandre Gillois en 2009

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La version remastérisée en plastique

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Une seule petite boule de patafix a suffi pour fixer temporairement cet assemblage.

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Sur les personnages, il y a de la perte. Il faudra être le roi de la peinture à main levée pour peindre le visage de Princess Malya.

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Même Mr. Tomn a été retravaillé. Il sera toutefois plus difficile à fixer sur son socle.

À noter, il manque un torse dans la boîte des Hell’s Belles, mais d’après ce lien, c’est un problème connu, qui affecte toutes les boîtes et je recevrai la pièce manquante… à l’occasion.

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